mardi 15 novembre 2016

Une espérance vivante

Pour des nouvelles sur ma santé. Dernière mise à jour le 19 décembre 2016



"Lui qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi tout avec lui, par grâce ? 
Qui accusera ceux que Dieu a choisis ? C’est Dieu qui justifie ! Qui condamnera ? C’est Jésus-Christ qui est mort ! Bien plus, il s’est réveillé, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous !
Qui nous séparera de l’amour du Christ ? La détresse, l’angoisse, la persécution, la faim, le dénuement, le péril, ou l’épée ? Ainsi qu’il est écrit : A cause de toi, on nous met à mort constamment. On nous considère comme des moutons qu’on égorge. Mais dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. Car je suis persuadé que ni mort, ni vie, ni anges, ni principats, ni présent, ni avenir, ni puissances, ni hauteur, ni profondeur, ni aucune autre création ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu en Jésus-Christ, notre Seigneur". Ro 8.32-39 NBS

Quelles promesses extraordinaires dans ces paroles ! J'aimerai vous inviter à les relire et à les méditer.

L'extrait que j'ai choisi commence par rappeler la portée de la croix : Lui qui n'a épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous...

Ensuite l'apôtre indique quel niveau de protection pouvons-nous attendre de notre Dieu : Qui accusera les élus de Dieu (ou ceux qu'Il a choisis)... ? Jésus disait à ses disciples : Ce n'est pas vous qui m'avez choisit, mais moi... (Jean 15.16).

Il nous décrit à nouveau les conséquences de la mort et de la résurrection du Christ, notamment sous leurs aspects juridiques.

Puis une question tellement pertinente est posée : Qui nous séparera de l'amour du Christ ? à laquelle suit une liste de situations extrêmes, culminant par une citation du Ps 44.23.

Enfin le bouquet final nous est donné par les versets 37 à 39. Oui, nous sommes plus que vainqueurs en tout (victoire qui concernent les "élus") : "Ni la mort, ni la vie, ni les anges, ou principats... ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu en Jésus-Christ, notre Seigneur"

Gloire à Lui. 

mercredi 2 novembre 2016

Le courage


              

Il se définit souvent comme "une force de caractère, fermeté d’âme devant le danger, la souffrance physique ou morale". On dit qu'il a combattu avec courage ou que cette épreuve pénible demande du courage. Paul parle souvent de courage, notamment dans la perspective inéluctable de la mort :

"C’est pourquoi nous ne perdons pas courage. Et même si chez nous l’homme extérieur dépérit, l’homme intérieur se renouvelle de jour en jour.  Car un moment de détresse insignifiant produit pour nous, au-delà de toute mesure, un poids éternel de gloire.  Aussi nous regardons, non pas à ce qui se voit, mais à ce qui ne se voit pas ; car ce qui se voit est éphémère, mais ce qui ne se voit pas est éternel..." (2 Co 4.16-18 NBS).

Je me suis souvent demandé ce qu'était ce poids de gloire. Je pense que la suite l'explique.

"Nous savons en effet que si notre corps, cette tente qui nous abrite sur terre, vient à être détruit, nous avons au ciel une demeure qui n’est pas l’œuvre de l’homme, une maison éternelle que Dieu nous a préparée. C’est là précisément ce qui nous fait soupirer aussi longtemps que nous habitons encore dans cette tente ; nous attendons, avec un ardent désir, d’entrer dans cette habitation céleste (ou, pour employer une autre image,) de revêtir l’habit céleste par dessus l’autre. Car nous n’aimerions pas passer par la nudité, mais être immédiatement revêtus (de notre habit céleste)" (2 Co 5.1-4 PVV)...
Quoi qu’il arrive, nous sommes donc, en tout temps, pleins de courage. Certes, nous savons que, tant que nous séjournons dans ce corps, nous vivons en exil, loin du Seigneur, car nous cheminons guidés par la foi, non par la vue. Cependant nous avançons sans crainte ; nos cœurs sont remplis de confiance et d’assurance. Si nous avions à choisir, nous préférerions même quitter ce corps pour aller rejoindre notre vraie patrie auprès du Seigneur.  Ainsi donc, que nous devions rester encore dans ce corps ou le quitter, notre seule ambition est de plaire au Seigneur (v. 6-9).